Ces images ont été projetées lors de la réunion publique du jeudi 7 décembre 2017.
La présentation faîtes ici est exhaustive, et a pour seul but de donner une idée des grandes lignes du projet présenté lors de cette réunion, par Benoit Garnero paysagiste de l'atelier « À ciel ouvert ». Le projet devra être mise en oeuvre sur plusieurs années, et ne peut se prévoir à l'échelle d'un seul mandat.
Le premier travail consistera à s'occuper de la partie stade, il est prévu de réaliser les nouveaux vestiaires avant la fin de ce mandat.
Ces images sont des hypothèses de travail.
Cette étude a été financée à 80% par le Parc Naturel Régional.
Merci pour ce compte-rendu !
RépondreSupprimerUn projet encourageant pour la sauvegarde du parc naturel et surtout la pédagogie à la nature auprès des enfants, plus que nécessaire dans notre région.
J'espère toutefois que le défrichement se fera raisonnablement et en conscience, ces bois sont précieux et il n'est pas souhaitable de tout aménager pour l'humain, même si cela se fait dans une dynamique écoresponsable. Les espaces "sauvages" protégés, c'est aussi (et surtout ?) ça, un parc naturel. A noter que cela s'inscrit aussi dans la pédagogie souhaitable à destination des enfants et du public.
Une remarque enfin, je ne remarque pas (ou peu) de poubelles sur ces images. Je ne doute pas qu'il y en aura, mais je tiens à souligner ici l'importance de sensibiliser le public et les conducteurs qui passent par cette zone au sujet des déchets, particulièrement sur ces espaces de bois et de zones humides. A l'heure actuelle, mon compagnon et moi ramassons chaque semaine au Vallon de Rocquemont de quoi remplir un à deux sacs poubelle de déchets variés (dont certains vraiment polluants, comme des plastiques déjà en partie dégradés et friables qui s'enfouissent dans le sol). Je sais que d'autres personnes font comme nous du côté du bois et nous les remercions. Certains déchets, notamment des emballages de fast-food, des canettes et des bouteilles de verre tombent sur la zone marécageuse et je n'ose pas imaginer combien de déchets s'enfouissent dans cette zone meuble et humide. Je ne doute pas que la commune fait son travail à ce niveau, mais il est clair que le public n'est pas suffisamment sensibilisé et que l'unique poubelle dans la zone de pique-nique du Vallon, près de la route, ne suffit pas.
Je suis disponible pour échanger davantage à ce sujet et pour établir si besoin un compte-rendu public de ce que nous ramassons, mon compagnon et moi (on peut me retrouver facilement sur Facebook et Linkedin, mon nom est assez unique). Il me semble qu'il est souhaitable que chacun agisse à son niveau.
Hélène Chiale